Critique

[critique ciné] Silence of the Tides, au rythme des marées

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

Respirant au rythme de ses marées, Silence of the Tides, le documentaire sans paroles que lui consacre le réalisateur néerlandais Pieter-Rim de Kroon, en restitue à la fois la diversité et la prodigieuse beauté.

S’étendant sur 450 kilomètres au large des Pays-Bas, de l’Allemagne et du Danemark, la mer des Wadden est l’une des plus grandes zones humides intertidales au monde et, partant, un écosystème d’exception. Respirant au rythme de ses marées, Silence of the Tides, le documentaire sans paroles que lui consacre le réalisateur néerlandais Pieter-Rim de Kroon, en restitue à la fois la diversité et la prodigieuse beauté, soulignée par l’éclat exceptionnel d’une lumière changeante. Non sans questionner le rapport de l’homme à cet environnement, chercheurs étudiant les migrations du bécasseau maubèche ou facteur distribuant le courrier en draisine, pour livrer une enivrante méditation contemplative.

De Pieter-Rim de Kroon. 1 h 43. Sortie: 22/09. ***(*)

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content