Critique ciné: Ouija, totalement insignifiant
FANTASTIQUE/HORREUR | À peine achevé qu’on a déjà oublié Ouija, spectacle éminemment dispensable et totalement insignifiant. Plein de clichés, point de frisson.
Il ne se passe rien durant la première heure de ce petit film de hantise où quelques jeunes gens imprudents tentent de communiquer avec l’esprit de leur amie suicidée après avoir joué avec une planchette Ouija. Plein de clichés, point de frisson. Pensant se rattraper sur la fin, Stiles White y multiplie soudainement les gros effets de terreur, faisant jouer un rôle crucial à une petite fille morte aux lèvres cousues. On vibre alors un peu, inévitablement, par réflexe devant quelques images chocs. Mais il s’est à peine achevé qu’on a déjà oublié Ouija, spectacle éminemment dispensable et totalement insignifiant.
DE STILES WHITE. AVEC OLIVIA COOKE, ANA COTO, DAREN KAGASOFF. 1H30. SORTIE: 29/04.
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