Les cinq albums de la semaine à ne pas manquer

De Romy à Róisin Murphy en passant par James Blake, Burna Boy, ou l’album posthume de Sparkelhorse, aperçu des principales sorties musicales de la semaine

James Blake, Playing Robots Into Heaven

Pour son septième album, James Blake a décidé de se tourner à nouveau davantage vers la piste de danse. Deux ans après les ballades de Friends That Break Your Heart, Playing Robots Into Heaven renoue avec des BPM plus appuyés et des humeurs plus clubby. En posant évidemment la question : peut-on effectuer un retour aux sources sans faire demi-tour ? (LH)

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Sparklehorse, Bird Machine

Le 6 mars 2010, Mark Linkous alors âgé de 47 ans mettait fin à ses jours (…) C’est Matt, le frère cadet de Mark, qui, après beaucoup de questions et pas mal de tergiversations, se cache aujourd’hui derrière la sortie posthume de Bird Machine. (…) Lorsqu’il a entamé le processus d’écoute et d’archivage des enregistrements de Mark avec Melissa et un spécialiste de la préservation du son au centre d’archive audiovisuelle de la Bibliothèque du Congrès aux Etats-Unis, Matt est tombé sur les morceaux en question. Il a aussi surtout réalisé que la majeure partie de l’album était déjà en place. Qu’une partie des chansons étaient sur le point d’être achevées, tandis que d’autres avaient seulement besoin d’un coup de pouce. Parachevé en famille (le neveu de Mark chante sur Evening Star Supercharger), des collaborateurs proches de Sparklehorse et même l’intervention de Jason Grandaddy Lytle sur le bouleversant The Scull of Lucia, Bird Machine est un pincement par moments très rock et direct de trois quarts d’heure au coeur. Empreint de tristesse mais gorgé de lumière. A son image en somme. (JB)

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Róisin Murphy, Hit Parade

Trois ans après le carton de Róisín Machine, l’Irlandaise revient avec Hit Parade, fruit d’une collaboration avec DJ Koze. Déjà éprouvé sur l’album du producteur allemand, le partenariat s’avère particulièrement fécond. Il permet notamment à Róisin Murphy de combiner ses appétences pour la piste de danse (la techno de You Knew) avec des couleurs plus nostalgiques et personnelles (Fader). Entre-temps, plombé par des accusations de transphobie -suite à un commentaire de la chanteuse sur Facebook à propos des enfants trans -, Hit-Parade n’a pas échappé à la controverse. Au point de miner ce qui constitue le meilleur album de l’intéressée? (LH)

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Burna Boy, I Told Them…

Avec I Told Them, le roi nigérian de l’afropop a (enfin) compris qu’il ne devait pas courir à tout prix derrière le crossover, pour convaincre. Cela ne l’empêche pas de lorgner ailleurs – les relents r’n’b 90’s de Sittin’ On Top Of The World, samplant Brandy, la pioche pop parfaitement dosée de Big 7 – ou d’inclure une liste de guests internationaux (de RZA à J Cole en passant par Dave). Mais, cette fois, sans jamais dénaturer la proposition de départ. (LH)      

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Romy, Mid Air

Après Jamie XX et Oliver Sim, Romy franchit le cap d’un premier album solo. Euphorique et coloré, queer et décomplexé, Mid Air séduit par sa sensibilité. A l’image du morceau qui ouvre le disque (le poignant Love Her, produit par Fred Again…), Romy réussit à mélanger groove house (Twice, Did I) et vulnérabilité, riff trance et confession intime (Weightless), rêverie (le morceau-titre avec Beverly Glenn-Copeland) et moment de pure extase (Enjoy Your Life). (LH)

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