HIP HOP | Il faut le suivre, Gonzales. Ces dernières années, le Canadien exilé à Paris a enchaîné un disque piano solo à la Satie (son plus gros succès), un autre de soft rock (un flop), avant de se lancer dans le cinéma avec un premier moyen métrage (Ivory Tower).
HIP HOP | Il faut le suivre, Gonzales. Ces dernières années, le Canadien exilé à Paris a enchaîné un disque piano solo à la Satie (son plus gros succès), un autre de soft rock (un flop), avant de se lancer dans le cinéma avec un premier moyen métrage (Ivory Tower). Aujourd’hui, il sort le « premier disque de rap orchestral », garanti sans beats. Sur une trame orchestrale dirigée par son frère Christophe Beck, compositeur de bande originale hollywoodienne, Gonzales décroche la tenue de rappeur, déjà enfilée sur ses premiers essais. Le but: jouer la confession intime à coup de punchlines plus ou moins provocantes. En anglais dans le texte, il faut évidemment pouvoir suivre. Mais la séance de psychanalyse livre quelques vérités bien senties, notamment sur la profession.
L.H.
Gonzales, The Unspeakable Chilly Gonzales, distribué par PIAS, **
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