![](https://img.static-rmg.be/a/view/q75/w962/h503/4166825/4809739-jpg.jpg)
20 idées de livres à emporter en vacances
Sélection élaborée par Ysaline Parisis, Olivier Van Vaerenbergh et Laurent Raphaël.
ROMAN. Il y a vingt ans, une Américaine signait une épopée de fin du monde vécue par deux adolescentes. Un pur morceau de nature writing politique enfin traduit.
Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Josette Chicheportiche, éd. Gallmeister, 304 pages. Lire notre critique du livre.
ROMAN. Troisième et dernier volet des (més)aventures de Vernon Subutex, héros précaire d’une utopie rattrapée par le venin de l’actualité. Magistral.
Éditions Grasset, 400 pages. Lire notre critique du livre et notre interview de Virginie Despentes.
ROMAN. Premier volume d’une trilogie, Le Séducteur déploie un kaléidoscope d’histoires où Jan Kjærstad invite ses lecteurs à penser plus grand.
Éditions Monsieur Toussaint Louverture, traduit du norvégien par Loup-Maëlle Besançon, 640 pages. Lire notre critique du livre.
ROMAN. De plus en plus porté sur la face cachée du rêve américain, l’auteur de Trainspotting s’en prend avec virulence et humour aux coachs sportifs.
Éditions Au Diable Vauvert, traduit de l’anglais (Écosse) par Diniz Galhos, 512 pages. Lire notre critique du livre.
RÉCIT. Publié aux États-Unis en 1926, l’édifiant récit de Jack Black, brigand poétique du siècle dernier, passionne autant qu’il instruit.
Éditions Monsieur Toussaint Louverture, traduit de l’anglais (USA) par Jeanne Toulouse et Nicolas Vidalenc, 474 pages. Lire notre critique du livre.
ROMAN. Dans Les Furies, l’Américaine Lauren Groff raconte l’histoire d’un mariage en deux temps et à deux voix: son récit à lui, sa version à elle. Une plongée fascinante dans la mythologie intime d’un couple, acclamée par Barack Obama.
Éditions de l’Olivier, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Carine Chichereau, 432 p. Notre rencontre avec Lauren Groff.
ROMAN. Dans son premier livre, Garth Risk Hallberg dynamitait la forme du roman pour radiographier la famille américaine. Audacieux et vertigineux.
Éditions Plon, traduit de l’anglais (États-Unis) par Elisabeth Peellaert, 144 pages. Lire notre critique du livre.
ROMAN. C’est le plus balzacien des écrivains américains. Dans Les Jours enfuis, Jay McInerney retrouve la Manhattan élitiste et glamour qui a fait sa légende, et des personnages familiers désormais littéralement hantés par la nostalgie. Un climat post-âge d’or qui n’empêche pas l’ex-enfant terrible de faire preuve de son habituelle férocité, et d’un incorrigible romantisme.
Éditions de l’Olivier, traduit de l’anglais (USA) par Marc Amfreville, 496 p. Notre rencontre avec Jay McInerney.
ROMAN. Graham Swift tire un beau roman d’une journée déterminante dans la vie d’une femme de chambre qui deviendra écrivaine. Elégant, anglais, féministe.
Éditions Gallimard, traduit de l’anglais par Marie-Odile FortierMasek, 144 p. Lire notre critique du livre.
ROMAN. Il y a 30 ans, la journaliste américaine Vivian Gornick auscultait les rapports houleux qui la liaient à l’auteure de ses jours. Ancien nouveau livre culte.
Éditions Rivages, traduit de l’anglais (USA) par Laetitia Devaux, 224 pages. Lire notre critique du livre.
POLAR. Le shérif du comté d’Absaroka est de retour dans un des meilleurs polars sériels, servi par un humour et une authenticité qui font mouche à chaque fois.
Éditions Gallmeister. Traduit de l’anglais (USA) par Sophie Aslanides. 372 pages. Lire notre critique du livre.
POLAR. Pour le grand bonheur de ses lecteurs, Fred Vargas ne se lasse pas du commissaire Adamsberg. Son nouveau polar, en l’espèce arachnéen, se délecte comme une madeleine.
Éditions Flammarion, 478 p. Lire notre critique du livre.
THRILLER. Envie de vous immerger dans l’atmosphère de Bangkok et de la Thaïlande sans vous taper le Guide du Routard tout en sortant, vraiment, des sentiers battus? Alors ruez-vous sur les aventures et les enquêtes de l’inspecteur Jitpleecheep, bouddhiste, fils d’un GI et d’une pute locale, et surtout inspecteur le plus improbable de la région, puisque incorruptible -on croit rêver.
Éditions Presses de la Cité, Traduit de l’anglais par Thierry Pïelat, 428 pages. Lire notre critique du livre.
POLAR. Un meurtrier revient dans son village natal après avoir purgé sa peine. Un énième récit sur la rédemption qui fait rimer écriture, poésie et originalité.
Éditions Agullo, traduit de l’anglais (USA), 288 pages. Lire notre critique du livre.
POLAR. L’écrivain et cultivateur de cannabis Matthew McBride raconte le devenir d’une ville du Missouri ravagée par la méth’. Entre Traffic et Breaking Bad.
Éditions Gallmeister, traduit de l’anglais (États-Unis) par Laurent Bury, 224 pages. Lire notre critique du livre.
ROMAN. Dans un récit émouvant et édifiant, le penseur Ta-Nehisi Coates raconte son enfance dans un quartier difficile de Baltimore. Et comment il a échappé à la malédiction qui frappe son peuple.
Éditions Autrement, 270 pages. Notre rencontre avec Ta-Nehisi Coates.
ROMAN. La langue sensible de Dominique Fabre excelle à saisir les êtres et la ville dans un halo d’incertitude et de mystère, comme des bribes de souvenirs flottant à la surface du passé.
Éditions de l’Olivier, 236 pages. Lire notre critique du livre.
ROMAN. Quinze ans après Les Corrections, roman qui le fit accéder au pupitre de « grand écrivain américain », Jonathan Franzen revenait avec Purity, intrigue familiale ambitieuse et captivante qui est aussi une défense et illustration du roman à l’heure du tout numérique.
Éditions de L’Olivier, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Olivier Deparis, 752 pages. Lire notre critique du livre.
ROMAN. Avec Intérieur nuit, vrai-faux polar hanté par le cinéma, l’Américaine Marisha Pessl vient questionner le pouvoir de la fiction. Un piège de roman, ludique et soufflant.
Éditions Gallimard, traduit de l’anglais (USA) par Clément Baude, 720 pages. Lire notre critique du livre.
ROMAN. Le premier tome des mésaventures de Vernon Subutex avait secoué le monde littéraire. Acide comme un filet de citron, Despentes y décrivait la dégringolade de cet enfant du rock, ancien disquaire inadapté à survivre dans ce monde cynique, et qui allait bientôt se retrouver à la rue. Six mois plus tard, la plus punk des écrivains français balancait le deuxième volet de cette trilogie qui est un peu la version contemporaine des Rougon-Macquart de Zola.
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici