
Critique ciné: Horns, presque grotesque mais original
FANTASTIQUE | Adaptant un roman de Joe Hill, Alexandre Aja offre un rôle marquant à Daniel « Harry Potter » Radcliffe, dans un film qui frôle parfois le grotesque.
Son amour de jeunesse a tourné au cauchemar: Merrin est morte, assassinée dans des conditions atroces, et c’est lui, Ignatius, qu’on accuse de l’horrible forfait. Peu semblent croire à son innocence quand soudain des cornes lui poussent, dont l’effet est de faire avouer leurs pires pensées et secrets aux gens qui l’approchent… Entre suspense criminel et fantastique, Horns trace un chemin risqué, aux nombreuses ruptures de ton mais dont Alexandre Aja fait un spectacle jouissivement bizarre. Adaptant un roman de Joe Hill (le fils de Stephen King), il offre un rôle marquant à Daniel « Harry Potter » Radcliffe, dans un film qui frôle parfois le grotesque, mais dont l’originalité, l’étrangeté, trouveront -heureusement- leurs défenseurs.
- D’ALEXANDRE AJA. AVEC DANIEL RADCLIFFE, MAX MINGHELLA, JUNO TEMPLE. 1H59. SORTIE: 12/11.
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