Critique

Comme un homme

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Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

DRAME | Le titre du film en circonscrit aussi le terrain de jeu: ces sables (é)mouvants où s’enlise volontiers le mal-être adolescent.

DRAME DE SAFY NEBBOU. AVEC EMILE BERLING, CHARLES BERLING, SARAH STERN. 1H35. SORTIE: 15/08. **

DRAME | Le titre du film en circonscrit aussi le terrain de jeu: ces sables (é)mouvants où s’enlise volontiers le mal-être adolescent. Chronique de l’horreur ordinaire, cette libre adaptation de L’Age bête de Boileau-Narcejac par Safy Nebbou (L’autre Dumas) embarque les Berling père et fils dans un drame où un fait divers quasi banal -un élève écorché agresse son professeur- ouvre sur une spirale infernale d’incidents malheureux. Point noir d’un ensemble de respectable tenue, l’esthétique de téléfilm du dimanche de Comme un homme ne gomme heureusement pas toutes les aspérités, voire les ambiguïtés, d’un récit où le mal a le visage, blême, d’un ange.

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