Critique | Musique

Homeboy Sandman – First of a Living Breed

Laurent Hoebrechts
Laurent Hoebrechts Journaliste musique

HIP HOP | Il fut un temps où le rap n’était pas qu’exercice de musculation et compèt’ de breloques. Homeboy Sandman (1980) a grandi dans le Queens. Il y a cinq ans, il a laissé tomber ses études de droit pour se lancer dans le hip hop.

HOMEBOY SANDMAN, FIRST OF A LIVING BREED, DISTRIBUÉ PAR STONES THROW. ***

HIP HOP | Il fut un temps où le rap n’était pas qu’exercice de musculation et compèt’ de breloques. Homeboy Sandman (1980) a grandi dans le Queens. Il y a cinq ans, il a laissé tomber ses études de droit pour se lancer dans le hip hop. Premier album à arriver jusqu’ici, First of a Living Breed ravive un état d’esprit hip hop que l’on pensait dépassé. A la fois fun et conscient, drôle et réfléchi. Jamais poseur (l’excellent Not Really, où il explique que le succès ne l’a pas changé, toujours fan de Roots, sauf que « maintenant en plus, je peux leur dire en direct »), Homeboy Sandman a le verbe précis, le sens de la formule. Watchu Want From Me? est le « hit » le plus évident, lui aussi sous influence 90’s. Mais il ne faudrait pas en conclure que First… soit un trip rétro. Juste une respiration bienvenue, le vent de fraîcheur hip hop de la rentrée.

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