Tony Molina

« Kill the Lights »

Vétéran de la scène hardcore de San Francisco, Tony Molina s’est reconverti en singer-songwriter pop, roi du format court et champion de la micro-chanson. Le short song man californien enquille dix mini-morceaux tout beaux tout doux qui avoisinent généralement la minute. Nothing I Can Say pourrait servir de générique à une série télé de vie en collocation. Wrong Town figurer sur un album d’Elliott Smith… Il y a ici un amoureux de Big Star ( Jasper’s Theme), l’évidence mélodique lumineuse d’un Teenage Fanclub, d’un Badly Drawn Boy et d’un Weezer. Un disque qu’on peut s’écouter quatre fois en une heure.

POP Distribué par Slumberland.

7

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