La terre qui les sépare

 » Tôt le matin, mars 2012. Ma mère, ma femme, Diana, et moi étions assis sur une rangée de sièges vissés au sol carrelé d’une salle d’attente de l’aéroport international du Caire. Une voix annonça que le vol 835 à destination de Benghazi partirait à l’heure. »

de Hisham Matar, éditions Folio, traduit de l’anglais (Lybie) par Agnès Desarthe, 352 pages.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content