Critique

[Critique ciné] Le Collier rouge, un peu laborieux

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Jean Becker dirige le film sans élan, restant à la surface très conventionnelle des choses.

[Critique ciné] Le Collier rouge, un peu laborieux

Au lendemain de la Première Guerre mondiale, un homme est en prison. Héros décoré au front, il a commis, une fois la paix revenue, un acte provocateur qui peut lui valoir la Cour martiale. Heureusement, l’officier chargé de l’enquête est quelqu’un de bon, et d’intelligent… Adapté un peu laborieusement du roman de Jean-Christophe Rufin, Le Collier rouge teinte d’antimilitarisme sa confrontation entre un jeune révolté (Nicolas Duvauchelle) et un aîné compréhensif, philosophe, aux élans paternels (François Cluzet). Un chien fidèle joue un rôle important dans ce film que Jean Becker dirige sans élan, restant à la surface très conventionnelle des choses.

De Jean Becker. Avec François Cluzet, Nicolas Duvauchelle, Sophie Verbeeck. 1h23. Sortie: 28/03. **(*)

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