Critique | Musique

Flying Lotus – Until the Quiet Comes

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

ÉLECTRO | Flying Lotus présente Until the Quiet Comes comme un collage d’états mystiques, de rêves, de sommeil et de berceuses.

FLYING LOTUS, UNTIL THE QUIET COMES, DISTRIBUÉ PAR WARP. ***

ÉLECTRO | Il avait qualifié son précédent album Cosmogramma de « space opera ». Aujourd’hui, Flying Lotus présente Until the Quiet Comes comme un collage d’états mystiques, de rêves, de sommeil et de berceuses. Ecouter un disque de Flylo, c’est toujours un peu comme suivre Alice dans le terrier du lapin aux yeux roses. Se promener dans de drôles de contrées rêveuses et cauchemardesques. Surréalistes, colorées et psychédéliques. Nocturne, ambient, Until the Quiet Comes invite à pénétrer un road-movie de science-fiction, un jeu vidéo dont on est le héros. Les extra-terrestres Erykah Badu, Laura Darlington, Niki Randa et Thom Yorke prêtent leurs voix aux délires du jeune sorcier californien du hip hop instrumental. Have a nice trip.

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