Critique

Violeta Went to Heaven

© DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

BIOPIC | Elle était musicienne, auteur, compositrice, chanteuse et guitariste, mais aussi folkloriste et ethnomusicologue. Violeta Parra était née en 1917, l’année de la révolution russe.

VIOLETA WENT TO HEAVEN, BIOPIC D’ANDRÉS WOOD. AVEC FRANCISCA GAVILAN, THOMAS DURAND, CHRISTIAN QUEVEDO. 1H50. SORTIE: 10/10. ***

BIOPIC | Elle était musicienne, auteur, compositrice, chanteuse et guitariste, mais aussi folkloriste et ethnomusicologue. Violeta Parra était née en 1917, l’année de la révolution russe. Et elle mourut en 1967, dans un Chili où les luttes sociales allaient porter, trois ans plus tard, Salvador Allende à la présidence de la république. Artiste solidaire et engagée, Violeta sillonnait le pays pour recueillir des airs de la tradition populaire. Et y avait planté les racines de cette « Nueva Cancion Chilena » dont elle devint l’icône. Près d’un demi-siècle après sa disparition, Andrés Wood lui consacre un très bel hommage en forme de film biographique aussi libre qu’inspiré. Bousculant la chronologie et les conventions du biopic classique, le réalisateur de Machuca évite les pièges de l’hagiographie et du sentimentalisme. Dans le rôle titulaire, Francisca Gavilan signe une interprétation des plus fascinantes.

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