Critique

Nuit #1

© DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Des corps qui dansent sur le rythme industriel d’une musique implacable. Une boîte de nuit, un homme et une femme qui s’éclipsent et se retrouvent dans un appartement, trop pressés de s’aimer pour ne pas abandonner leurs vêtements dès la porte franchie, dans le désordre des sens.

DRAME D’ANNE EMOND. AVEC CATHERINE DE LÉAN, DIMITRI STOROGE, VÉRONIQUE REBIZOV. 1H31. SORTIE: 07/11. ***

DRAME | Des corps qui dansent sur le rythme industriel d’une musique implacable. Une boîte de nuit, un homme et une femme qui s’éclipsent et se retrouvent dans un appartement, trop pressés de s’aimer pour ne pas abandonner leurs vêtements dès la porte franchie, dans le désordre des sens. Ce pourrait n’être qu’un one-night stand. Mais ce pourrait être plus. Car à l’étreinte peau contre peau s’ajoute l’ébauche d’un dialogue, à l’échange de secrétions succède un échange de mots. Et pas des moindres… Nuit #1 est le premier long métrage de la jeune réalisatrice canadienne Anne Emond. Sensuel en diable, et tourmenté aussi, il révèle un grand talent qu’accompagne une grande audace. Creusant la question amoureuse avec une force d’expression peu banale, il signale en la personne de Catherine de Léan une actrice éblouissante de présence, de talent.

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