Critique

La grande boucle

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

COMÉDIE | Des Cracks, avec Bourvil, au Vélo de Ghislain Lambert, avec Poelvoorde, la Petite Reine a inspiré le cinéma avec un inégal bonheur.

Comédie de saison, La grande boucle envoie pour sa part sur les routes du Tour de France un passionné (Clovis Cornillac) qui, lâché par son employeur et quitté par sa femme, va entreprendre d’en tracer le parcours 24 heures avant les pros.

Parti dans l’indifférence générale, le cyclo va bientôt susciter un intérêt à la mesure de son exploit. Ne craignant ni les poncifs, ni les clichés, le film de Laurent Tuel dévide son scénario avec la monotonie d’une étape de plaine, l’ennui n’étant pas même tempéré par la présence d’anciennes gloires comme Bernard Hinault ou Laurent Jalabert, ni celle d’un rappeur répondant au nom de Ame Strong (sic) ou d’un directeur sportif porté sur le pot belge amélioré (Bouli Lanners!). En un mot comme en cent, du (camion-)balai…

COMÉDIE DE LAURENT TUEL. AVEC CLOVIS CORNILLAC, BOULI LANNERS, ELODIE BOUCHEZ. 1H38. SORTIE: 12/06.

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