Jarvis Cocker admet écrire de nouvelles chansons pour Pulp!

Où Jarvis Cocker réécrit pour Pulp, la capote Star Wars emballe votre sabre-laser, James Sallis a écrit une suite à Drive, Transit promet du film qui dépote, et White Fence chasse le lapin de Pâques.

Bonne nouvelle, les poppeux, Jarvis Cocker a admis travailler sur de nouvelles chansons pour Pulp, groupe dont le dernier album studio remonte à plus de dix ans et qui n’a à priori été reformé que pour donner des concerts. Rien de plus n’a filtré, le sex symbol geek affirmant même ne pas être sûr que ces notes aboutiront à de nouvelles compositions. Espérons juste que les Britanniques se permettent de rester aventureux, malgré leur vieux fonds de commerce britpop plus rentable que la noirceur vénéneuse de This is Hardcore ou We Love Life, derniers disques pas bien vendus malgré leurs énormes qualités.

http://www.nme.com/news/pulp/63082

Jeunes padawans, la prochaine fois que vous sortez votre sabre-laser, n’oubliez de le couvrir, de préférence avec des préservatifs franchisés Lucasfilms.

http://io9.com/star-wars/

C’était prévisible. Ce vieux bougon de James Sallis, auteur du roman à la base du carton cinématographique Drive, en a écrit une suite, à la demande de son agent, et après seulement quelques minutes d’hésitation. On ne sait pas encore trop ce que raconte ce Driven, si ce n’est que l’action est relocalisée à Phoenix, ville de naissance du Kid, qui pourrait donc très bien avoir survécu à la baston sur le parking du restaurant chinois. Mouais…

http://www.thedailybeast.com/articles/2012/04/04/drive-author-james-sallis-on-his-sequel-driven.html

Avant de voir la bande-annonce, il faut inscrire sa date de naissance sur l’écran, ce qui est un bon moyen pour faire passer son film pour plus extrême et violent qu’il ne semble réellement l’être. Quoiqu’il en soit, Transit est le premier d’une série de long-métrages repris sous la bannière After Dark, compilation de séries B décomplexées, sexy et sanguinolentes, MAIS… sans le second degré à la Tarantino. Transit raconte ainsi l’épreuve d’une innocente famille partie en week-end dans les bois et qui se retrouve avec un gros sac de dollars dans son matériel de camping, magot que des brigands ont mis là pour eux-mêmes passer sans soucis les barrages policiers. Magot qu’ils entendent bien évidemment récupérer, tout aussi évidemment sans laisser de témoins. D’où festival de la castagne. Ça peut donner, sans rire.

http://www.comingsoon.net/news/movienews.php?id=88733

Dans la lignée des groupes jeanfoutres à la Black Lips, Thee Oh Sees et autres Sic Alps, capables de pondre des tubes au kilo mais incapables de les enregistrer de façon à plaire aux radios et au grand-public, voici White Fence et son psychédélisme tranquille n’étant pas sans rappeler Syd Barrett. C’est Pâques, courez après les lapins, mangez les oeufs de couleurs.

http://lineout.thestranger.com/lineout/archives/2012/04/04/white-fence-family-perfume-vol-1

Serge Coosemans

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