Critique

[critique ciné] Une vie démente

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

Un méli-mélo sentimental aux allures de parentalité inversée qui cherche systématiquement une fantaisie de type lunaire.

Premier long métrage d’un duo de cinéastes belges ayant quelques courts derrière lui (Lucha libre, Avec Thelma), Une vie démente confronte un couple de trentenaires désireux d’avoir un enfant à la maladie neurodégénérative croissante de la mère de l’un d’eux. Point de départ d’un méli-mélo sentimental aux allures de parentalité inversée qui cherche systématiquement une fantaisie de type lunaire. Très inscrit dans la géographie bruxelloise, le film cause beaucoup pour ne pas dire grand-chose et finit par tourner quand même méchamment en rond, enquillant par ailleurs les idées visuelles un peu faussement originales, et en tout cas très vite redondantes. Un bon argument de court métrage artificiellement étiré en long, en somme.

D’Ann Sirot et Raphaël Balboni. Avec Lucie Debay, Jean Le Peltier, Jo Deseure. 1h27. Sortie: 08/09. **(*)

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