Critique

[Critique ciné] The Zookeeper’s Wife, reconstitution poussive

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME HISTORIQUE | Les bonnes intentions sont rarement synonymes de grand cinéma.

[Critique ciné] The Zookeeper's Wife, reconstitution poussive

Inspiré de faits réels, The Zookeeper’s Wife relate comment, dans les mois qui suivirent l’invasion allemande de la Pologne en 1939, Antonina et Jan Zabinski, les gérants du zoo de Varsovie, allaient sauver des centaines de Juifs de la déportation et d’une mort certaine en organisant leur fuite du ghetto sous le nez de l’occupant nazi. Voisin de La liste de Schindler par son thème, le film de Niki Caro (North Country) n’en a toutefois pas la force, s’en tenant à une reconstitution poussive venue rappeler que les bonnes intentions sont rarement synonymes de grand cinéma. Et cela, en dépit de la présence investie de Jessica Chastain, flanquée pour le coup de l’acteur belge Johan Heldenbergh, moins à son affaire que dans Alabama Monroe.

De Niki Caro. Avec Jessica Chastain, Johan Heldenbergh, Daniel Brühl. 2h04. Sortie: 10/05. **

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