Critique

Critique ciné: Annabelle, honnête divertissement de genre

Annabelle © DR
Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

HORREUR | À la fois prequel et spin-off de The Conjuring, le film se construit autour d’Annabelle, poupée mieux peignée et moins teigneuse que Chucky, même si tout aussi malveillante.

A la fois prequel et spin-off de The Conjuring, récent carton horrifique signé James Wan (Saw, Insidious), le film se construit autour du visage en porcelaine d’Annabelle, poupée mieux peignée et moins teigneuse que Chucky, même si tout aussi malveillante. Laquelle va joyeusement pourrir la routine familiale d’un jeune couple et leur enfant en bas âge… Si l’histoire est complètement tarte, et les effets horrifiques rabâchés, l’élégance de la mise en scène au cachet vintage, la qualité de l’interprétation et les clins d’oeil (appuyés) au Rosemary’s Baby de Polanski en font tout de même un honnête divertissement de genre. Ni plus, ni moins.

  • De John R. Leonetti. Avec Annabelle Wallis, Alfre Woodard, Ward Horton. 1h38. Sortie: 08/10.
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