BBoys: Arte retrace l’histoire du breakdance (3e partie, Paris) (vidéos)

Junior/Orel © Arte Creative
FocusVif.be Rédaction en ligne

Dans une nouvelle websérie en 9 épisodes, Arte Creative raconte l’histoire du break par ses BBoys cultes. Archives à l’appui, du Bronx à Paris. En voici les épisodes 5 à 7, en exclusivité.

Après avoir encaissé le choc du « New York City Rap Tour », les jeunes européens s’emparent à leur tour du breakdance et commencent à rivaliser avec leurs modèles d’outre-Atlantique. Les films comme Flashdance et les clips des Bboys américains font des émules dans les quartiers. En France, le « New York City Rap Tour » influence immédiatement toute une génération « black-blanc-beur » qui émerge sur la scène sociale, politique et culturelle. Les artistes américains qui se produisent dans les clubs des Bains Douche, du Bataclan ou de la Cinquième Dimension surfent sur l’effervescence des radios libres. Sur les ondes de Radio 7, Sydney anime « Rappers Dapper Snapper » et invite Afrika Bambaataa et les danseurs du « Rock Steady Crew » dans H.I.P.H.O.P., la première émission entièrement consacrée au hip-hop. Les cultures de la rue, imprégnées par la volonté de se dépasser, le hip-hop conquiert la région parisienne et bientôt l’ensemble du pays. Les graffeurs investissent les terrains vagues de Stalingrad et de La Chapelle, où se déroulent les premières block-parties clandestines. Mais les battles mythiques se déroulent aux Halles à Paris.

En voici les épisodes 5 à 7 en exclusivité:

#5 Benji – Flexible Style – Paris

La France a aussi développé sa pratique du breakdance.Bboy Benji a contribué à ses moments cultes et à développé son propre style : le « Flexible style », qui est devenu un des styles incontournables du breakdance.

#6 Graffitidance – Junior / Orel

Les univers du breakdance et du graffiti, deux piliers du hip-hop, sont extrêmement liés. Graffitidance met en parallèle les deux disciplines et explore ses codes communs dans un épisode musical et graphique.

#7 B-Boys moves with Mounir

Mounir décortique le rituel de la danse et sa structure chorégraphique, des fameux pas du « top rock » qui permettent au danseur de s’approprier la rythmique du morceau musical, aux expressions corporelles au sol qui allient les mouvements les plus acrobatiques au style propre à l’univers du danseur.

Demain, le dernier épisode se déroulera à Séoul avec HONG10.

À suivre sur www.arte.tv/bboys

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