SOUL-BLUES | On n’attendait pas plus que cela du 34e album studio du misanthrope irlandais, bien que ses borborygmes charnels aient orné quelques grands moments d’histoire rock
VAN MORRISON, BORN TO SING: NO PLAN B, DISTRIBUÉ PAR EMI. ****
SOUL-BLUES | On n’attendait pas plus que cela du 34e album studio du misanthrope irlandais, bien que ses borborygmes charnels aient orné quelques grands moments d’histoire rock, à commencer par Astral Weeks. Bon d’accord, c’était à l’automne 1968 (…), mais il y en eut d’autres, toujours convoqués par un céleste grognement vocal, même pas élimé par les 67 printemps de l’artiste. Largement enregistré live en studio à Belfast -là où tout a commencé-, le disque s’incarne pleinement dans un style où blues, soul, folk et jazz sont frères de sang. C’est peu dire que Van chante bien (cf. Goin’ Down to Monte Carlo) et que ses morceaux habités (End of the Rainbow, Pagan Heart, Educating Archie) honorent d’imposante manière la musique.
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