Critique | Musique

Lapalux – Nostalchic

Laurent Hoebrechts
Laurent Hoebrechts Journaliste musique

ABSTRACT R’N’B | Derrière Lapalux se cache le jeune producteur anglais Stuart Howard, 25 ans à peine. C’est l’élément le plus clair et évident d’une identité sonore plongée par ailleurs dans le flou.

LAPALUX, NOSTALCHIC, DISTRIBUÉ PAR BRAINFEEDER/PIAS. ***

ABSTRACT R’N’B | Derrière Lapalux se cache le jeune producteur anglais Stuart Howard, 25 ans à peine. C’est l’élément le plus clair et évident d’une identité sonore plongée par ailleurs dans le flou. Comment décrire la musique du jeune prodige? A vrai dire, on cherche toujours. Son affiliation au label de Flying Lotus, Brainfeeder, est déjà un indice de sa tendance à l’électronique psychédélique et expérimentale. Son goût avéré pour le r’n’b américain est une autre donnée importante, donnant du genre une version mutante et cafardeuse (Kelly Brook, Dance). Enfin, ses origines anglaises et l’influence de quelqu’un comme Burial peuvent expliquer le traitement des voix, tordues dans tous les sens. Le tout mis ensemble donne un disque beau bizarre, à défaut d’être parfait.

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