En images: Burning Man 2015, 30e édition d’un festival hors normes
Du 30 août au 7 septembre, le désert du Nevada accueillait, sous le signe de la poussière et du vent, une nouvelle édition du mythique Burning Man. Une manifestation prisée aux quatre coins du monde, dont c’était la 30e en date. Preuve de son succès, la totalité des billets d’entrée a été vendue à la mi-février et il n’y a aucune possibilité d’acheter son accès sur place. Un jour a suffi pour que la horde d’internautes compulsifs prenne d’assaut les dizaines de milliers de tickets proposés.
Imaginé pour la première fois en 1986 par Larry Harvey et Jerry James, d’après une idée originale de la sculptrice Mary Grauberger, cet événement arty tourne traditionnellement symboliquement la page de l’été. En 30 ans, il s’est développé de façon exponentielle, passant de 20 à environ 66.000 festivaliers -on dit « burners »- lors de l’édition 2014. Le clou du spectacle? La crémation festive d’un mannequin géant -dont la taille a évolué de 2 à… 35 mètres au fil du temps- lors d’une cérémonie de clôture inspirée par des rites païens faisant vivre aux participants une expérience néo-tribale.
Mais Burning Man est loin de s’arrêter à ce coup d’éclat pyrotechnique. En une semaine, c’est une véritable ville éphémère qui jaillit du sol, Black Rock City, entraînant dans son sillage une sorte d’utopie éphémère caractérisée par une surenchère identito-vestimentaire et une effervescence créatrice. Cet environnement unique est jalonné d’installations (les Art Camps) et de groupes constitués qui leur donnent vie. Le tout est régi par dix commandements, prônant entre autres la libre expression et le don, qui constituent l’âme de l’évènement, davantage une expérience de vie qu’un simple festival.
En outre, à l’occasion de cette 30e édition, la maison d’édition Taschen consacre un solide ouvrage de 275 pages retraçant l’atmosphère et les temps forts de cette grande messe visionnaire et interactive.
M.V.
L’installation Totem of Confessions.
L’installation Carnival of Mirrors.
The Man domine la Playa.
Le site de Burning Man est immense: beaucoup s’y déplacent à vélo.
À vélo devant le cinéma Black Rock Bijou.
Le Temple of Promise.
À vélo.
Carnival of Mirrors.
Au loin, The Man domine la Playa.
L’USS Nevada, véhicule mutant.
Au Robot Heart.
En balançoire.
À « cheval ».
Les membres du camp More Carrot distribuent des fruits et légumes.
Au Robot Heart, petit matin.
L’installation Compound Eye.
Nuage de poussière à travers la Playa.
À la base de la gigantesque statue de The Man.
L’Homme et la Lune.
The Man, la nuit.
Serpent Mother.
Charcade.
Charcade.
Vélos illuminés.
Vue aérienne (1).
Vue aérienne (2).
Festivaliers.
Un véhicule mutant en forme d’ours polaire.
Hug.
Metaheart.
Sieste et tempête de sable.
Mariage au Burning Man.
Mariage au Burning Man.
Mariage au Burning Man.
Se protéger des tempête de sable avec style.
Live.
Live.
Medusa Madness.
Medusa Madness.
Temple of Promise.
Temple of Promise.
Lever de soleil.
Lever de soleil.
Lever de soleil.
Festivaliers.
Lever de soleil.
Carnival of Death Race on High Rollers.
El Popo Mechanico.
Dans une voiturette de golf modifiée.
Burning Man la nuit.
Expo.
Un autre véhicule mutant.
Une installation brûle avant le grand final qui aura lieu le 5 septembre.
Penny the Goose.
Festivaliers.
Dans le désert comme à la piscine.
Got Framed.
Le « Fire Conclave » encercle l’Homme.
Costumes illuminés.
Avant le brûlage de l’Homme.
Place de choix pour regarder l’Homme brûler.
Feux d’artifice avant de brûler l’Homme.
Les festivaliers se rassemblent avant le brûlage de l’Homme.
Le moment tant attendu: l’Homme brûle, l’apogée symbolique du festival.
The Man Burning.
Des milliers de spectateurs pour l’Homme qui brûle.
This is not Tomorrowland.
Petit déjeuner sur les cendres du Burning Man.
Fire Tetris.
Le Temple of Promise, brûlé à son tour.
Le Temple of Promise, brûlé à son tour.
Les restes du Temple of Promise.
Medusa Madness.
Bolas enflammées devant les cendres du Temple of Promise.
Julia Kwinter.
L’artiste Swig Miller.
Une dernière photo pour la route.
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici