Critique | Musique

Clark – Iradelphic

ÉLECTRO | Qu’elle est jolie, cette plaque à Clark. Des cordes sèches douillettes comme des sacs de couchage s’y mélangent aux boutons de l’espace, pressés dans un jam avec Z-6PO…

CLARK, IRADELPHIC, DISTRIBUÉ PAR WARP. ****
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ÉLECTRO | Qu’elle est jolie, cette plaque à Clark. Des cordes sèches douillettes comme des sacs de couchage s’y mélangent aux boutons de l’espace, pressés dans un jam avec Z-6PO, avant que Clark ne se déguise en Jean-Michel Jarre hippie pour une session rétro-aquatique de piano-jouet, autour d’un feu, bientôt chassé par de bien furieux ours. Avant les rêveries baroques. Ça fait du bien. Surtout quand Martina Topley-Bird débarque pour susurrer son superbe Secret dans un ensemble envoûtant, hanté comme un folk des ténèbres joué dans la crème de son chocolat chaud. Enregistré partout dans le monde, instruments vintage et orientaux couplés aux machines, cet album sorti chez Warp est un bijou de poésie. Bien joué.

G.V.

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