Critique | Musique

Chelsea Light Moving – Chelsea Light Moving

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

ROCK | Thurston Moore n’aime pas se tourner les pouces. Sonic Youth en suspens pour une durée toujours indéterminée, le New-Yorkais séparé de Kim Gordon débarque avec Chelsea Light Moving.

CHELSEA LIGHT MOVING, CHELSEA LIGHT MOVING, DISTRIBUÉ PAR MATADOR. ***

ROCK | Thurston Moore n’aime pas se tourner les pouces. Sonic Youth en suspens pour une durée toujours indéterminée, le New-Yorkais séparé de Kim Gordon débarque avec Chelsea Light Moving. Un nouveau projet au nom inspiré par une compagnie de Philip Glass et Steve Reich. Accompagné de Keith Wood (Hush Arbors) à la guitare, de Samara Lubelski (déjà présente au violon sur ses albums solo) à la basse et de John Moloney à la batterie, Moore y rappelle brièvement ses aventures solitaires (Heavenmetal) avant de faire écho à la jeunesse sonique, de se la jouer franchement grunge (Sleeping Where I Fall), de partir dans des sonorités lourdes proches du metal (Alighted) et de rendre hommage au (post-)punk (Lip). Clin d’oeil à ce cher William, Burroughs déchire. Ça fait longtemps qu’on n’avait plus entendu Thurston aussi excité.

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