Critique | Musique

Caleb Landry Jones, aussi bon avec un micro que devant la caméra

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© National
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Album - Gadzooks, vol.2

Artiste - Caleb Landry Jones

Genre - Rock

Label - Sacred Bones/Konkurrent

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

“Gadzooks Vol. 2”

Beau-frère suprémaciste blanc dans Get Out, drôle de médecin qui injecte aux patients les maladies de leurs idoles dans Antiviral ou encore tueur de masse dans Nitram, pour lequel il a reçu le Prix d’interprétation masculine au festival de Cannes 2021, Caleb Landry Jones est un acteur habité, habitué à jouer les cinglés et les mecs fragiles. La musique lui va tout aussi bien. Sur son troisième album, Gadzooks Vol. 2, elle étincelle de toute sa débordante ambition. Entre l’opéra psychédélique et le cabaret glam, la pop théâtrale et le rock démonstratif, Landry Jones fait mieux que tirer son épingle du jeu. Il a confectionné un fameux disque, cinématographique, dans lequel s’invitent Bolan, Bowie, Barrett et les Beatles.

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