Tobbogan

 » Nuit minérale. Une étendue de neige, pas une trace, la pente montait doucement vers la lisière sombre au flanc de la montagne. Les sapins s’étageaient jusqu’au ciel et bien qu’ils fussent poudrés de blanc eux aussi, leur masse délimitait par une ligne brisée la luminescence laiteuse de la voûte céleste qui n’en paraissait que plus infinie, couleur d’encre… »

De Jean-Jacques Beineix, éditions J’ai lu, 320 pages.

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