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Mr. Mercedes

L’oeuvre de Stephen King a fait l’objet de 47 adaptations sur petit ou grand écran. Et le jour où son nom ne s’inscrira plus sur un générique télé ou ciné n’est pas encore arrivé. Après le succès du reboot de It, les adaptations de Under the Dome et 22.11.63 ainsi que l’hommage appuyé de Stranger Things, la rentrée porte le sceau de l’auteur de best-sellers terrifiants à hauteur d’hommes. Réalisé pour la chaîne Audience, Mr. Mercedes ( voir critique p. 52) et ses acteurs principaux Brendan Gleeson et Harry Treadaway ont récolté les louanges de la critique et du public. Cette adaptation d’une trilogie de King créée par David E. Kelly ( Ally McBeal, Big Little Lies) constitue un hommage habile, imparfait mais astucieusement troussé. Produit par le maître lui-même aidé de J.J. Abrams, Castle Rock, nom de patelin présent dans de multiples romans de l’auteur se nourrit de nombreuses références qu’il croise au gré d’une intrigue originale. C’est la chasse aux oeufs de Pâques et aux madeleines de Proust, mais aussi la découverte d’une histoire bien ficelée, qui fait miroiter crise économique, fantastique, horreur et comédie -bien- sombre.

Castle Rock
Castle Rock

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