Le Champ

 » L’homme contempla les tombes éparses, comme jetées au hasard devant lui dans le pré. L’herbe était haute, les insectes bourdonnaient dans l’air. Perché sur le mur friable envahi de massifs de sureaux, un merle chantait. L’homme ne pouvait pas le voir. »

De Robert Seethaler, éditions Folio, traduit de l’allemand (Autriche), 256 pages.

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