La Nuit atlantique

 » En fait, j’aime tout de la ville, ses vieilles pierres, ses foules anonymes et métissées, ses cinémas, ses cafés, ses pavés, son macadam et même ses pigeons miteux, ses jardins et ses ponts, j’aime prendre le bus, le métro, encore mieux aller à pied ou à vélo, tout me plaît en ville, sauf le débile mental arrimé au volant de sa tonne de ferraille qui monopolise l’espace public en suffoquant les populations avec son infect diesel à particules fines: l’automobilisme relève de l’éco-criminalité planétaire, un fléau pire que les dix plaies d’Égypte. »

D’Anne-Marie Garat, éditions Babel, 432 pages.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content