
Écrire pour sauver une vie
13-03-2019, 20:00
Mise à jour le: 07-12-2020, 16:27
» L’un de mes grands-pères, John French, celui du côté maternel, plus grand et un peu plus clair de peau que bon nombre des immigrés italiens aux côtés desquels il travaillait comme plâtrier-peintre, avait pour habitude de me jucher sur ses épaules pour me promener dans les rues de Homewood, le quartier noir de Pittsburgh, en Pennsylvanie, où nous habitions. »
de John Edgar Wideman, éditions Folio, traduit de l’américain par Catherine Richard-Mas, 288 pages.
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