Chronosquad (tome 4)

De Grégory Panaccione et Giorgio Albertini, Éditions Delcourt, 248 pages.

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Résumé des épisodes précédents: c’est le bordel. Les chronosquads font l’objet d’une campagne de dénigrement, vu leurs piètres résultats dans leur recherche de Céleste Korn, fille du patron de la banque centrale. Celle-ci, disparue en Égypte ancienne, se retrouve en Amérique précolombienne avec Djebel, ancien esclave égyptien. De leur côté, le professeur Kairos et l’agent Beylogu avancent sur la piste des Géants qui semblent avoir une origine humaine. Et pour couronner le tout, Silverberg est toujours en fuite dans les replis du temps. Pour ceux qui viennent de prendre le programme en cours, sachez que le voyage dans le temps est possible et que le tourisme temporel s’est considérablement développé. Les chronosquads, police touristique qui gère les différents problèmes inhérents aux voyages temporels, tombent sur une véritable organisation mafieuse de traite d’humains. Bloch, qui vient d’intégrer le service, va découvrir sa véritable identité et Penn, officier supérieur du corps de police, doit gérer sa maternité avec un personnage très important de la Renaissance italienne. Point de vue dessin c’est toujours aussi moche, mais quelle pêche! L’humour et l’intrigue sont au rendez-vous dans cette chouette série d’action qui se clôt ici sans que le soufflé ne retombe.

C.B.

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