Aux animaux la guerre

 » 1961. Cet automne-là, on tuait en plein jour. En pleine rue. En toute bonne foi. Le centre d’Oran était tout barbouillé de slogans. Trois lettres majuscules résonnaient sur les murs jaunis, suscitant l’espoir ou bien la peur, selon qu’on voulait rester ou les voir partir. Comme si la guerre faisait de la réclame. »

de Nicolas Mathieu, éditions Babel, 443 pages.

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