Critique | Cinéma

La Tresse: une sarabande opportuniste de clichés

0,5 / 5
"La tresse" sort cette semaine en salle
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Titre - La Tresse

Réalisateur-trice - De Laetitia Colombani

Casting - Avec Kim Raver, Fotini Peluso, Mia Maelzer.

Durée - 1 h 59

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

Préparez-vous à être ému aux larmes”, clame fièrement l’affiche du film. Avec La Tresse, Laetitia Colombani adapte son propre best-seller aux 5 millions de lecteurs. Soit, entre l’Inde, l’Italie et le Canada, le destin, façon grand zapping en mondo-pudding, de trois femmes au courage vibrant liées entre elles par les grosses ficelles d’un scénario conçu comme un porno gênant de sentiments dégoulinants. Injustice, maladie, douleur, abandon…

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Avec son esthétique de carte postale, le film ne se concentre que sur des moments de vie chargés d’émotions exacerbées pour jouir éhontément des malheurs du monde dans une sarabande opportuniste de clichés tous plus énormes les uns que les autres. À tant de mauvais pathos, c’est sûr, on n’était pas préparé.

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