Critique | Cinéma

Il pleut dans la maison: la précarité à hauteur d’ados

3,5 / 5
3,5 / 5

Titre - Il pleut dans la maison

Réalisateur-trice - De Paloma Sermon-Daï

Casting - Avec Makenzy Lombet, Purdey Lombet, Donovan Nizet.

Durée - 1 h 22

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

La Belge Paloma Sermon-Daï confirme ses talents de réalisatrice avec Il pleut dans la maison, primé à Cannes.

Découverte il y a trois ans avec le désarmant documentaire Petit Samedi, l’Andennaise Paloma Sermon-Daï pose, pour son premier long métrage de fiction, primé à la Semaine de la Critique cannoise l’an dernier, sa caméra aux abords des lacs de l’Eau d’Heure afin de capturer quelque chose de la précarité à hauteur d’adolescents.

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Purdey, 17 ans, et son frère Makenzy, 15 ans, sont livrés à eux-mêmes et tentent de se débrouiller seuls. Entre âpreté du quotidien et moments d’insouciance, ils traversent comme ils peuvent ce qui semble bien devoir être le dernier été de leur jeunesse… Sur cette trame minimale, la réalisatrice wallonne, attentive aux visages, aux gestes et aux regards, réussit une chronique sociale dure et lumineuse à la fois, qui puise chez ses jeunes interprètes bourrés de naturel une vérité de chaque instant.

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