Critique | Cinéma

Hunger Games: La Ballade du serpent et de l’oiseau chanteur: un résultat plus efficace qu’inspiré

2,5 / 5
Tom Blyth as Coriolanus Snow and Ashley Liao as Clemensia Dovecote in The Hunger Games: The Ballad of Songbirds and Snakes. Photo Credit: Courtesy of Lionsgate
2,5 / 5

Titre - Hunger Games: La Ballade du serpent et de l’oiseau chanteur

Réalisateur-trice - De Francis Lawrence.

Casting - Avec Tom Blyth, Rachel Zegler, Peter Dinklage.

Durée - 2 h 38

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

Dix ans après, la saga Hunger Games opère son grand retour sur les écrans. Si Francis Lawrence est toujours derrière la caméra, exit Jennifer Lawrence pour ce prequel situé 64 ans avant le premier cycle. Et qui voit un Colorianus Snow jeune (Tom Blyth) être désigné comme mentor de Lucy Gray Baird (Rachel Zegler), une “tribut” issue du douzième District, à l’heure des dixièmes Hunger Games.

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Le début d’un récit initiatique en trois actes déployant son cocktail de violence, de romance post-ado et d’enjeux philosophiques sommaires dans des décors post-apocalyptiques spectaculaires. Pour un résultat plus efficace qu’inspiré, le duo Blyth-Zegler assurant toutefois le spectacle, tandis que des seconds rôles choisis -Viola Davis, Peter Dinklage, Jason Schwartzman- se chargent d’une touche grinçante bienvenue.

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