Critique | Cinéma

How to Save a Dead Friend: autoportrait viscéral de la jeunesse russe

4 / 5
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Titre - How to Save a Dead Friend

Genre - Documentaire

Réalisateur-trice - De Marusya Syroechkovskaya.

Durée - 1h44

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

Marusya Syroechkovskaya a 16 ans en 2005, année où elle décide d’en finir avec la vie avant de rencontrer Kimi, ange blond et âme sœur avec qui elle va se filmer durant plus d’une décennie dans la Russie de la déprime de Poutine. Sous nos yeux, ce couple punk et désenchanté, fan de Joy Division et Nirvana, s’aime puis se délite, Kimi se voyant notamment rattrapé par de puissants penchants autodestructeurs et la défonce, qui semblent constamment faire de lui un être en sursis…

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Fruit d’un patient travail de montage, cet autoportrait viscéral et sans filtre d’une jeunesse promise aux lendemains qui déchantent touche au vertige de l’abîme et à la célébration écorchée de la vie par-delà la mort. Un témoignage intime d’une âpreté incandescente.

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