Critique | Cinéma

[critique ciné] After Yang: intrigant, mais un brin fumeux

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

Deuxième long métrage de l’artiste plasticien américain d’origine coréenne Kogonada, After Yang se situe dans un futur proche, au sein d’une famille dont le quotidien est bouleversé lorsque Yang (Justin H. Min), le techno-sapiens acquis par le couple pour être le grand frère de sa fille adoptive, tombe en panne. Décidé à le faire réparer, Jake (Colin Farrell), le père, va entamer un curieux voyage, s’insinuant dans les souvenirs de l’androïde… Affirmant son originalité dès son brillantissime générique d’ouverture, After Yang ne se départit pas par la suite d’une certaine étrangeté, explorant dans une atmosphère éthérée des thématiques nombreuses, perte, racines et transmission notamment. Pour un résultat intrigant, mais un brin fumeux.

De Kogonada. Avec Colin Farrell, Jodie Turner-Smith, Justin H. Min. 1 h 36. Sortie: 30/03. **(*)

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