Quincy Jones en cinq collaborations marquantes (sans Thriller, mais avec Michael Jackson)

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Laurent Hoebrechts
Laurent Hoebrechts Journaliste musique

Le producteur américain Quincy Jones est décédé lundi, à l’âge de 91 ans. Génie musical venu du jazz, il dispose d’une discographie longue comme le bras. Exemple avec cinq incontournables.

Ray Charles

Quand le grand Ray Charles, Dieu de la soul, devient une superstar pop, au début des années 60, Quincy Jones n’est évidemment pas loin. Par exemple sur The Genius of Ray Charles, dont il compose tous les arrangements. Quand deux surdoués se rencontrent…

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Ella Fitzgerald

Instrumentiste surdoué, Quincy Jones va cependant rapidement se mettre en retrait, laissant de côté une carrière de soliste, pour offrir ses services d’arrangeur. En 1963, il prend ainsi en main tous les arrangements du disque que la grande Ella Fitzgerald, alors au sommet de sa gloire, enregistre avec Count Basie.

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Boris Vian

En 1957, Quincy Jones s’installe à Paris, où il étudie la composition avec Nadia Boulanger et Olivier Messiaen. Dans la foulée, il devient même directeur artistique chez Barclay, collabore avec tous les artistes maison. Dont Henri Salvador et Boris Vian, tous deux fans de jazz, avec lesquels il se lie.

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Frank Sinatra

La légende veut que ce soit Frank Sinatra qui ait baptisé Quincy Jones du surnom de Mr Q. En 64, il met par exemple son grain de sel dans la collaboration entre Sinatra et Count Basie, It Might As Well Be Swing. Notamment dans les arrangements de ce qui reste la version la plus célèbre de Fly Me To The Moon.

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Michael Jackson

Que dire qui n’a pas encore été dit sur Thriller ? En 1982, le binôme Jones-Jackson taille une sorte de pierre philosophale de la pop. Une quête de perfection qui démarre dès Off The Wall, premier des trois albums (avec Bad), qui bouleverseront tous les codes musicaux de l’époque.

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