Critique | Musique

Father John Misty chante ses états d’âme sur la vie

4 / 5
Father John Misty © Sub Pop Records
4 / 5

Album - Mahashmashana

Artiste - Father John Misty

Genre - Rock

Label - Bella Union

Laurent Hoebrechts
Laurent Hoebrechts Journaliste musique

Dès le début de son entreprise musicale, Josh Tillman, alias Father John Misty, a déployé une écriture aussi brillante que sarcastique. Comment l’en blâmer?

L’époque ne cesse de confirmer ses traits d’humour les plus désespérés. Depuis quelques disques, les états d’âme de l’Américain ont toutefois pris une tournure plus existentielle. Deux ans après Chloë and the Next 20th Centuryet un best of sous-titré I Followed My Dreams and My Dreams Said to Crawl (J’ai suivi mes rêves, et mes rêves m’ont dit de ramper…)-, Father John Misty (le 09/04, à l’Ancienne Belgique) persiste et signe.

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Mot sanskrit censé désigner le « grand terrain de crémation« , Mahashmashana gratte là où ça fait mal, avec un panache réjouissant. À l’instar des 10 minutes du morceau-titre, puisant dans le soft rock et la pop seventies, les éléments d’un songwriting époustouflant, comme sait le faire Father John Misty.    

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