Thriller, rural noir, murder mystery, enquête subtile… C’est sûr, vous ne lâcherez pas ces dix polars avant de les avoir finis.
Roman de Donald Ray Pollock (2012), éditions Le Livre de Poche, 408 pages.
Pas le plus « mainstream », mais le plus viscéral dans le genre rural noir très noir.
Roman de Maurice G. Dantec (1995), éditions Folio, 768 pages.
Un classique qui aurait pu trouver sa place dans les récits visionnaires, avec sa « neuromatrice ».
Roman de James Ellroy (2010), éditions Rivages Noir Poche, 928 pages.
Pour Ellroy. Pour l’assassinat de Kennedy. Pour l’odyssée criminelle qui y mène.
Roman de Giancarlo de Cataldo (2007), éditions Points, 736 pages.
Le Libanais veut et va conquérir Rome. Une saga criminelle seventies impossible à lâcher.
Roman de Lee Child (2006), éditions Fleuve noir, 382 pages.
L’empereur des polars bourrins et king du page-turning avec son serial Jack Reacher.
Roman de Fred Vargas (2001), éditions J’ai lu, 352 pages.
Le commissaire Adamsberg et sa troupe face au retour de la peste à Paris: culte et scotchant.
Roman de Franck Thilliez (2004), éditions Pocket, 448 pages.
Pour citer l’auteur le plus populaire et efficace du moment, et son premier thriller avec ses flics Lucie Hennebelle et Franck Sharko.
Roman de Henning Mankel (2004), éditions Points, 336 pages.
Deux cadavres dans un canot pneumatique. Et le début de l’inspecteur Kurt Wallander. Le meilleur du polar nordique.
Roman de Donald Westlake (2000), éditions Rivages Noir Poche, 352 pages
Un cadre supérieur au chômage se charge d’éliminer la concurrence. Une charge suffocante contre l’ultra-libéralisme.
Roman de Ken Bruen (2004), éditions Folio policier, 288 pages
La madeleine de votre serviteur: la série « R&B » de l’Irlandais le plus méchant, le plus drôle et le plus addictif du polar.