Critique

Little Miss Sunshine

© DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

Superbe exemple du potentiel créatif du cinéma indépendant américain, ce film au charme fou nous fait découvrir une famille pas tout à fait comme les autres.

UNE COMÉDIE DE JONATHAN DAYTON, VALERIE FARIS. AVEC GREG KINNEAR, TONI COLLETTE, STEVE CARELL. 2005. ****

Ce mardi 1er janvier à 20h50 sur Arte.

Superbe exemple du potentiel créatif du cinéma indépendant américain, aussi riche par les idées que souvent modeste par les moyens engagés, ce film au charme fou nous fait découvrir une famille pas tout à fait comme les autres. Il y a le père, un incorrigible rêveur ayant écrit un livre sur « Le Parcours vers le succès en 9 étapes »… qu’il ne réussit pas vendre. Il y a la mère, pleine de bonnes intentions mais ayant fort à faire pour soutenir son mari tout en supportant son frère érudit proustien, gay et suicidaire. Il y a le grand-père, un anticonformiste qui aime la fumette. Et puis il y a les enfants, le garçon qui se mure dans le silence et aspire à intégrer l’armée de l’air, et la fille de 7 ans qui se rêve en reine de beauté… Nous suivons tout ce petit monde vers le concours de Miss enfant auquel la jeune Olive s’est inscrite. Un voyage drôle, émouvant, mémorable!

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