Le Weboscope du Mercredi 7 Avril
Où la pensée de Schwarzenegger se compile en 160 répliques cultes, se collectionne la figurine du Monolithe Noir, se redécouvre Frank Sinatra et Law Abiding Citizen s’avère quelque peu exagéré.
On suppose qu’un jour un petit malin postera un best of de ses déclarations politiques, en attendant voici un bel hommage à la carrière cinématographique d’Arnold Schwarzenegger à travers 160 de ses fameuses » petites phrases » ponctuant ses scènes de violence ; de l’ultra-célèbre » hasta la vista, baby! » de Terminator 2 aux punchlines nettement plus idiotes dans des productions franchement plus secondaires! Il est permis de ricaner et même de ressentir quelque nostalgie!
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Dans notre grand feuilleton » rions du merchandising « , voici la figurine du MONOLITHE NOIR, célèbre artefact de la série L’ Odyssée de l’Espace (2 films, 5 bouquins, tout de même…). Tant qu’à s’acheter un mystérieux rectangle noir, rappelons que pour déjà 50 euros de plus, il en existe avec 500 gigas de mémoire et une sortie USB et qu’on appelle ça alors un disque dur externe. Moins joli, moins maniaque mais nettement plus utile, Dave…
http://www.thinkgeek.com/stuff/41/monolith-action-figure.shtml?icpg=Carousel_Monolith_2
Alors que l’on réhabilite pour le moment à tour de bras d’horribles ringards (Jean-Michel Jaaaaaarre!!!), il est une vieille gloire morte mais géniale dont on n’entend presque plus jamais parler et dont les chansons les plus formidables (It was a very good year) s’oublient au profit des scies (New York New York). Ladies and gentlemen, plus que temps de se rappeler d’un grand monsieur de la chanson internationale du nom de Sinatra, Frank… et pas besoin d’avoir 65 ans pour commencer l’escalade de son oeuvre!
http://www.gonzai.com/content/frank-sinatra-musique-after-hall
Après la blonde qui se venge de son propre assassinat, le gars qui est tout vénère d’avoir passé 20 ans dans une chambre miteuse à manger du poulpe et le père de famille qui s’attaque tout seul à la bande de 200 camés dégénérés dont un seul est coupable de meurtre, on pensait bien avoir tout vu en matière de film de vengeance. Hé bien, non. Il faut désormais ajouter à cette liste de pitchs plus exagérés les uns que les autres, l’histoire du père de famille à priori sans histoire qui, après la relaxe des violeurs de sa fille suite à un vice de procédure judiciaire, ne se contente pas de lui-même les punir de très violente façon mais décide aussi de carrément semer la panique totale sur le territoire américain; mettant à profit son expérience de spécialiste des opérations secrètes de la CIA. Cela s’appelle Law Abiding Citizen et ce n’est pas sensé être une série Z, non…
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Serge Coosemans
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