Critique

[Le nanar de la semaine] Shazam!, un nullissime concentré de médiocrité

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

FILM DE SUPER-HÉROS | Un film tellement fadasse qu’il ne parvient jamais à choisir entre premier degré ridiculement solennel et second degré jamais drôle.

Septième film relevant d’un DC Extended Universe d’un niveau général toujours aussi désastreux, Shazam! lorgne sans vergogne l’impertinence en mousse des Deadpool chers à Marvel avec une ambition esthétique à peine digne des standards télévisés d’une série de l’Arrowverse. Autant dire que le résultat défie les plus insondables abysses du genre. Énormes problèmes de rythme, « fantaisie » hyper appuyée, casting de cirque de province… Moins méta que bêta, le film développe une mythologie super-héroïque tellement fadasse qu’elle ne parvient jamais à choisir entre premier degré ridiculement solennel et second degré jamais drôle. Un nullissime concentré de médiocrité.

De David F. Sandberg. Avec Zachary Levi, Asher Angel, Mark Strong. 2h12. Sortie: 03/04. °

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