Critique

[le nanar de la semaine] Le Sens de la famille, le « body swap » poussé à l’extrême

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

Avec ce sitcom familial, Jean-Patrick Benes pousse le principe du « body swap » à l’extrême, puisqu’il l’applique à toute une maisonnée, tout en permutant les rôles en cours de route.

Séjournant dans un parc d’attractions pour fêter les six ans de leur fille Chacha, les Morel se réveillent avec un problème épineux, l’esprit de chacun des cinq membres de la famille étant coincé dans le corps d’un autre: la fillette dans celui de son père, le père dans celui de son fils ado, etc., une succession de situations embarrassantes à la clé. Avec ce sitcom familial, Jean-Patrick Benes pousse le principe du « body swap » à l’extrême, puisqu’il l’applique à toute une maisonnée, tout en permutant les rôles en cours de route. Le film n’y gagne pas plus en lisibilité qu’en légèreté, porté par un Franck Dubosc égal à lui-même, oscillant entre le lamentable et le consternant. On compatit pour Jackie Berroyer.

Comédie. De Jean-Patrick Benes. Avec Franck Dubosc, Alexandra Lamy, Jackie Berroyer. 1h31. Sortie: le 30/06. °

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