Critique

Killing Them Softly (Cogan)

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Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

THRILLER | Cinq ans après un « The Assassination of Jesse James… » d’excellente mémoire, « Killing Them Softly » consacre le retour aux affaires du cinéaste néo-zélandais Andrew Dominik.

THRILLER DE ANDREW DOMINIK. AVEC BRAD PITT, RAY LIOTTA, JAMES GANDOLFINI. 1H37. SORTIE: 05/12. ***

THRILLER | Cinq ans après un The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford d’excellente mémoire, Killing Them Softly consacre le retour aux affaires du cinéaste néo-zélandais Andrew Dominik. Si le premier transcendait allègrement les frontières du western, ce nouvel opus reste plus strictement dans les frontières d’un genre, le polar. Lequel, en l’occurrence, se présente tendu et teigneux, et met en scène une bande de malfrats qui décident de braquer un tripot accueillant des jeux clandestins. Suite à quoi la mafia contrôlant le business va envoyer un tueur, Cogan, pour tenter d’y mettre bon ordre. Certes, Andrew Dominik s’emploie à faire miroiter dans Killing Them Softly les crises économique et morale traversées par l’Amérique contemporaine. Il ne s’écarte guère pour autant de son cahier des charges de thriller, dont il s’acquitte avec brio mais sans surprise, entre sécheresse appréciable de l’affaire et excellence de l’interprétation, de Brad Pitt aux seconds rôles croquignolets de Ray Liotta ou James Gandolfini.

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