Critique

[Critique ciné] Wonder Wheel: on peut éviter

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

COMÉDIE DRAMATIQUE | Après le Hollywood des années 30 dans Café Society, cap sur Coney Island dans les 50’s pour Wonder Wheel, le Woody Allen annuel.

[Critique ciné] Wonder Wheel: on peut éviter

Le réalisateur new-yorkais fait converger les destins de Mickey (Justin Timberlake), séduisant maître-nageur doublé d’un aspirant dramaturge, Ginny (Kate Winslet), ex-actrice devenue serveuse, mal mariée à Humpty (Jim Belushi), opérateur de manège à l’alcool mauvais, couple que rejoint Carolina (Juno Temple), la fille de ce dernier poursuivie par des tueurs… Soit le point de départ d’un marivaudage recyclant sans guère d’inspiration des figures fort convenues, pour un film où Justin Timberlake surnage, Jim Belushi surjoue et Kate winslette tandis que la petite musique de Woody Allen ronronne sans plus de vagues que d’éclat. On peut éviter.

De Woody Allen. Avec Kate Winslet, Jim Belushi, Justin Timberlake. 1h41. Sortie: 31/01. **(*)

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