Critique

[Critique ciné] The Hate U Give, à rebours des clichés

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

DRAME | Un regard acéré sur la réalité américaine et les tensions raciales la secouant.

[Critique ciné] The Hate U Give, à rebours des clichés

Adolescente ayant grandi à Fremont, Californie, dans un quartier noir noyauté par un gang, Starr mène une double vie, suivant qu’elle évolue au sein de cette communauté, ou dans le lycée huppé fréquenté par des Blancs où l’ont inscrite ses parents, un ex-Black Panther et une infirmière. Une attitude mise à mal lorsque la jeune fille est témoin du meurtre d’un ami d’enfance par un policier à la gâchette facile… Empruntant son titre à la chanson Thuglife de Tupac, un acronyme pour « The Hate U Give Little Infants Fucks Everybody« , le film de George Tillman (Notorious) porte un regard acéré sur la réalité américaine et les tensions raciales la secouant, abordées à rebours des clichés au gré d’un crescendo dramatique un brin démonstratif mais vibrant du charisme d’Amandla Stenberg.

De George Tillman Jr. Avec Amandla Stenberg, Regina Hall, Anthony Mackie. 2h13. Sortie: 23/01. ***(*)

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