Critique

[critique ciné] Rifkin’s Festival: charme mélancolique

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

C’est en Espagne, et plus précisément à San Sebastian, qu’a trouvé refuge Woody Allen pour Rifkin’s Festival.

Ne trouvant plus de financement aux États-Unis, c’est en Espagne, et plus précisément à San Sebastian, qu’a trouvé refuge Woody Allen pour Rifkin’s Festival. Un couple américain, Mort (Wallace Shawn) et Sue (Gina Gershon), se rend à la Donostia où, publiciste, elle doit s’occuper d’un réalisateur français (Louis Garrel) avec qui elle ne tarde pas à avoir une liaison, tandis que son mari en pince pour la doctoresse (Elena Anaya) à qui il confie ses angoisses… La trame d’un marivaudage qui flirterait avec l’insignifiance si le réalisateur new-yorkais n’en profitait pour revisiter certains de ses films de chevet, de Citizen Kane au Septième sceau en passant par L’Ange exterminateur, et doter l’ensemble, mineur, de charme mélancolique.

Comédie/Romance. De Woody Allen. Avec Wallace Shawn, Elena Anaya, Gina Gershon. 1 h 28. Sortie: 04/09. ***

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