[Critique ciné] Peter Rabbit, un spectacle familial prudemment rassembleur
ANIMATION | Pierre Lapin décrit les rapports d’une famille de lapins chapardeurs avec les habitants humains d’un coin de campagne britannique.
« Rascal, rebel, rabbit »: l’affiche originale du film de Will Gluck annonce une couleur quelque peu transgressive jamais confirmée par un spectacle familial prudemment rassembleur. Librement adapté de l’univers immensément populaire de l’écrivaine, naturaliste et aquarelliste Beatrix Potter (1866-1943), Peter Rabbit décrit les rapports d’une famille de lapins chapardeurs avec les habitants humains d’un coin de campagne britannique. L’animation et les acteurs en chair et en os se mêlent sans grâce particulière, et les bons gags se font rares au fil d’une intrigue à quiproquos cousue de fil blanc et baignée d’une sentimentalité banale. N’est pas Paddington qui veut…
De Will Gluck. Avec Rose Byrne, Domhnall Gleeson, Sam Neill. 1h33. Sortie: 28/03. **(*)
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